Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

09/06/2017

Girafes

https://www.youtube.com/watch?v=N4RlsJSAbSE


Un troupeau de girafes se lance dans un enchaînement de plongeons acrobatiques de haut vol dans une piscine olympique déserte.

Une idée impressionnante !

03/06/2017

Les moines volants

Bien sûr ce ne sont pas des moines, mais ils volent entre les barres :





02/06/2017

Un arbre

Ce n’était qu’un petit arbre
Un arbre comme les autres
Fragile à sa naissance
Puis devenu fort comme un turc
Bien que sa chair tendre
Réponde aux critères
D’une féminité doucereuse

Lorsque vous arrachez
Ses pousses abondantes
Il s’’en dégage une odeur
Persistante et violente
Que vous ne pouvez définir
Elle envahit votre intimité
Elle trahit votre perspicacité
Vous la rejetez, trop prenante
Et attirante malgré tout
« Reviens-y » semble-t-elle dire
Et pourtant elle pue !

A ses pieds poussent et repoussent
 Ses petits, d’un vert tendre
Presque jaune, aux pieds fins
Vous le tirez en biais
Et tout reste dans la main
Une petite boule blanchit
Qui ne s’attache à la racine
Que par l’opération de l’esprit

Dans cet état indolore
Il est simple de l’éliminer
Mais quelques jours plus tard
Le nourrisson revient
Avec assurance, heureux
De vous montrer sa vitalité
Me voici, semble-t-il dire
Étonné, rageusement
Vous lui donnez le coup de grâce

Mais il revient, perspicace
Jusqu’à ce que vous laissiez
De guerre lasse ou par inadvertance
Une pousse bien cachée
Envahir votre espace
Préoccupé par d’autres tâches
Vous ignorez sa puissance virtuelle
Mais un jour de printemps
Il devient arbre réel, envahissant
Au bois dur et flexible
Un arbre réel et rugueux
Bien qu’encore en culottes courtes
Il se moque de vous
En vous regardant dans les yeux :
« Tu vois, dit-il, je suis là ! »
Alors vous décidez de le garder
Pour voir comment il pousse
Et ce qu’il deviendra

Vous n’y pensez plus
Jusqu’à l’automne
Jour de grand ménage ou jardinage
Où est-il ce petit arbre ? vous interrogez-vous
Vous vous appuyez sur un tronc
Sans savoir qu’il est là
Sous votre main, fermement
Établi dans sa robustesse
Ligneux, épanoui, jovial
Étincelant de santé
Aux feuilles bien découpées
Que vous brisez par inadvertance
Et qui repousseront patiemment
Sans cri ni esclandre
Parce que c’est sa tâche
Vivre toujours quoi qu’il arrive
Et décourager l’humain
Trop impatient et indécis
Que faire de ce rejet
Qui sourd des entrailles
D’une terre chaleureuse
Qui donne tout ce qu’elle a
Et même plus encore !

©  Loup Francart

26/01/2017

Notre Soleil vu par la Nasa

https://youtu.be/GSVv40M2aks


La vidéo  a été tournée en partie quand Vénus est passée entre le Soleil et la Terre.
Quand on voit des grands bras de matière qui s'échappent du soleil, il s'agit de photos prises à une longueur d'onde unique, donc du suivi de matière qui rayonne à cette couleur depuis le "disque" jusque dans lespace avec retour un peu plus loin, des sortes de ponts à 20 millions de degrés.
Quand on voit le disque seul avec des taches, il s'agit de photos prises dans un domaine de longueur d'onde très large, donc de la matière qui rayonne dans toutes ces couleurs. Elle constitue le "disque", à la température la plus froide, 6 000 degrés. On ne voit pas les bras cités plus haut, car ils sont moins lumineux que le fond d'image.
Les autres images du Soleil sont prises à d'autres longueurs d'onde, rayons X notamment, d'où cette allure crevassée.

 

solardynamicsobservatorysdoestunsatellitedobservationdusoleillancéparlanasale88février2989samissionestdetransmettredesinformationssurterredanslebutdemieuxconnaitrelesoleiletnotammentsonchampmagnétique grâceasesinstrumentscelaboratoirespatialestcapabledenregistrerdesimagesdunerésolutionnativede4996x4996pixelsavecdifférentstraitements lavidéopubliéeparlanasaaétéréaliséegrâceà299millionsdimagesreprésentant2699terra-octetsdedonnéesenregistréestoutaulongdes8826joursquelesatelliteobservenotreétoile
solardynamicsobservatorysdoestunsatellitedobservationdusoleillancéparlanasale88février2989samissionestdetransmettredesinformationssurterredanslebutdemieuxconnaitrelesoleiletnotammentsonchampmagnétique grâceasesinstrumentscelaboratoirespatialestcapabledenregistrerdesimagesdunerésolutionnativede4996x4996pixelsavecdifférentstraitements lavidéopubliéeparlanasaaétéréaliséegrâceà299millionsdimagesreprésentant2699terra-octetsdedonnéesenregistréestoutaulongdes8826joursquelesatelliteobservenotreétoile

 

aloccasiondes5ansdesonsatellitesolardynamicsobservatorysdolanasaadévoiléunevidéodusoleilexceptionnelleàvoirabsolument

13/01/2017

une corrida spéciale

https://www.youtube.com/watch?v=S6R3AoqWaoo


 

C'est drôle et le taureau n'est pas méchant!

10/01/2017

Un yogi

https://www.youtube.com/watch?v=fOYEOj9mEfs


 

A-t-il réellement 102 ans ? Peu importe. Quel que soit son âge, n’est-ce pas extraordinaire de voir cet homme élastique, plus souple qu’un enfant de 2 ans.

Mais la sagesse tient-elle à des postures physiques ?

 

09/12/2016

Le théâtre des ombres

https://www.youtube.com/watch?v=UvvkJrKKYF8


 

26/11/2016

A paraître

Il va sortir le 9 décembre 2016 :

« Remontant à la surface pour respirer, elle regarda l’au-dehors, puis l’au-dedans. Aucune rupture. Elle n’éprouva aucun changement d’impression, aucun décalage entre les deux regards, aucun déclic inaudible. Rien, un monde lisse et pourtant ô combien différent. »

1e de couv RI.jpgAprès quoi courons-nous ? L’argent, la gloire ou l’amour ? Au fond, qu’est-ce qui nous anime, nous transporte et nous imprègne ? Enfin… qu’est-ce qui nous fait vivre ?

 Avec ce recueil de nouvelles, Loup Francart reprend la plume avec une profondeur nouvelle, affûtée au contact du fantastique. En prenant le quotidien pour cadre, dans tout ce que la vie courante se réclame de banale, il baisse notre garde et nous touche en plein cœur. Voyages initiatiques à part entière, chacun de ses récits sonde nos existences, nos doutes et nos attentes. Que sont devenus nos espoirs d’une vie meilleure ? Décorseté par le surnaturel, l’ordinaire vibre de sa fonction primaire : donner un sens. Épris de liberté, nos existences prennent enfin le chemin différent, éveillé et souriant auquel nous sommes destinés. Sitôt affranchis, le fantastique s’estompe pour laisser place à l’accoutumée. Insolites, ces nouvelles le sont assurément : mais n’est-ce pas le cas de chacun d’entre nous ?

 Avec humour et tendresse, Loup Francart patine de nostalgie cet ouvrage intimement philosophique, le troisième paru aux Éditions du Panthéon.

€ 21,90 TTC
ISBN 978-2-7547-3158-4

 

22/10/2016

Humour

Il avait de l'humour à revendre

Sans jamais jouer les Cassandre

16-10-22 Galabru.jpg

20/10/2016

Ballet Igor Moiseyev

Rigueur, souplesse, force, harmonie, ensemble, tout qualifie ce ballet exemplaire.


03/09/2016

Jeux para-olympiques

 Une belle présentation des jeux para-olympiques.

https://www.youtube.com/watch?v=IocLkk3aYlk&app=desktop

01/09/2016

Tornade

Sans crainte, ils font face, susceptibles de mourir à tout instant. La passion conduit à bien des défis.


 

11/08/2016

photos

Quelques photos originales qui envoient une pincée de sourires au monde :

Mutation 2.jpg

Mutation 1.jpg

Mutation 4.jpg

Oui, ce sont des photos de vacances...

24/06/2016

Sur les boulevards en 1928

https://www.youtube.com/embed/blw8zJt-Sc0

Étonnant ce retour en arrière où, finalement, beaucoup de choses sont déjà semblables à ce que nous connaissons : l'agitation de Paris, l'élégance des cafés, les parisiennes très à l'aise qui ne semblent pas avoir besoin d'une libération. Bref un Paris que nous connaissons et que nous regardons avec malgré tout un peu de nostalgie (mais nous n'étions pas nés), car il a cependant évolué.

Deux choses, et deux seulement, se remarquent tout de suite : Les chevaux et les chapeaux. C'était un autre temps !

 

15/05/2016

Printemps

 

Les bras grands ouverts
Il a vécu. Il est mort
Paix à son âme

 

1-IMG_3204.JPG

03/05/2016

Pour un sourire


12/04/2016

La bibliothèque de Babel, de Jorge Luis Borges

Je l’ai lu cette nouvelle inimaginable contenant « tous les possibles, les faux futurs, les vraies et les fausses histoires ». Elle m’avait fasciné.

Elle existe maintenant. C’est un site Internet :

https://libraryofbabel.info/

Jonathan Basile a conçu un algorythme capable de produire toutes les combinaisons posibles à partir des 26 lettres de l’alphabet :

  • nombre de pages –> 10 puissance 4677
  • nombre de livres : 29 puissance 1312000

littérature,fiction,imagination,virtualité

Si vous cherchez ce qui est écrit dans ce site, allez au feuillet Random. Mais vous tombez sur une page emplie de lettres sans signification.

Quelques explications vous sont données dans les feuillets intitulés :

  • About,
  • Reference Hex
  • theory

littérature,fiction,imagination,virtualité

Borges s’est inspiré de Kurd Lasswitz et de son histoire de 1904 “La Bibliothèque Universelle” (“Die Universalbibliothek”).

littérature,fiction,imagination,virtualité

Erik Desmazières a créé quelques œuvres en clin d’œil au Piranèse pour une édition illustrée de la nouvelle de Borges.

littérature,fiction,imagination,virtualité

21/03/2016

Rêve

Ils sont là, face à face...

Ils se regardent...

Qu'éprouvent-ils ?

16-03-21 ET.jpg

Oui,

C'est la rencontre  du réel et du virtuel...

14/03/2016

Impossible

Avait-il oublié quelque chose à l'intérieur ?

16-03-14 Impossible 2.jpg

Il est à l'intérieur et ne peut plus sortir :

16-03-14 Impossible 1.jpg

12/03/2016

Le soleil dans toute sa splendeur

https://www.youtube.com/watch?v=GSVv40M2aks

Mieux vaut se taire et admirer plutôt que d'expliquer ou de commenter.

Seul un poème peut traduire ce qu'on éprouve devant ce spectacle.

02/03/2016

Se garer entre deux voitures

Il est des jours où tout est simple parce que vos perceptions sont démultipliées. Ainsi en est-il lorsque vous garez votre voiture en ville.



Habituellement vous vous y reprenez à deux fois et même plus, n’arrivant pas à trouver le bon angle d’attaque, la courbe majestueuse à effectuer pour vous glisser sans contact entre deux voitures et le trottoir. Cela vous rappelle les prisons américaines que l’on voit dans les vieux films : trois murs, une grille à travers laquelle le détenu passe avidement les bras comme pour aspirer une brassée d’air pur. Vous vous laissez balloter entre les parechocs ou vous cognez trop vite sur la pierre sèche du trottoir sans comprendre pourquoi vous n’arrivez pas à entrer. Vous êtes comme l’incarcéré qui se fait parfois projeter par ses codétenus entre les trois murs et la grille. Vous avez cependant l’avantage d’être dehors et vous cherchez à vous glisser dedans. Le prisonnier est hélas dedans et voudrait bien sortir dehors. Toute autre ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ne saurait être que fortuite.

Mais d’autres jours, plus rares et délicieux, vous faites preuve d’une intensité extraordinaire de conscience. Dieu vous glisse une goutte d’huile sur le corps et vous guide hardiment dans ce coin obscur sans que vous vous en rendiez compte. Pourtant rien ne vous y prépare. Vous n’avez aucune acuité supplémentaire avant de commencer à tourner votre volant à droite pour laisse l’avant de la voiture partir à gauche pendant que son arrière-train accepte de chercher une place sur sa droite. Vous avez la sensation de vous assoir sur un fauteuil non rempaillé dont les montants de bois vous rentrent dans les fesses. Alors vous vous contorsionnez pour trouver une agréable assise. Nouveau coup de volant, à gauche cette fois-ci, qui vous permet d’entrer en catimini dans l’espace promis et envié. Vos sensations s’exaspèrent. Vous avez des picotements au bout des doigts, des pieds et de votre postérieur qui vous avertissent de l’approche de l’obstacle et vous font l’éviter. Vous vous sentez grandi, vous redressez la tête qui vous sort du cou et vous permet de mesurer la distance entre la roue arrière et le trottoir. Alors d’un geste sublime vous tournez à nouveau votre volant à droite pour caser le reste de votre corps entre les parechocs, avec douceur, sans heurt, entrée triomphale dans cet antre de paix qu’est la place qui vous a été offerte par un collègue parti quelques instants plus tôt. Vous n’avez pas encore conscience de cette agilité des sens qui vous a permis cette glissade bienheureuse dans un créneau étroit.

Au moment de couper le contact, un silence impressionnant se fait en vous. Tout devient fluide, vous baignez dans le bonheur qui est à portée de main. Votre cœur se dilate et devient une grotte qui résonne du moindre bruissement, votre vue s’affine jusqu’à vous montrer ce que vous ne voyez jamais, un fil d’araignée qui s’étire entre le tableau de bord et le parebrise. Il luit au soleil et vous dit : « Oui, elle est belle la vie, belle de ces petites choses sans intérêt qui lui donnent du sel et en font un plat goûteux que vous dégustez en une seconde qui devient l’éternité avant de retrouver la gaucherie de tous les jours et de sentir, en vous passant la main sur la joue, votre barbe qui pousse ».

27/02/2016

L'abbaye de Clermont (2)

La cour intérieure vous a sans doute échappé. On s’intéresse d’abord à l’abbatiale. Mais lorsqu’on en sort, le lieu apparaît, désolé et auparavant grandiose.

1-16-01-23 Abbaye de Clermont (52).JPG

1-16-01-23 Abbaye de Clermont (44).JPG

Un côté de la cour est en ruine. Il s’agissait, paraît-il, des Communs (transformés aux XVIe et XVIIe siècles).

1-16-01-23 Abbaye de Clermont (50).JPG

Le bâtiment des Convers possède deux magnifiques salles voutées, dont le cellier.

ImaIMGPr0946.JPG

Hors de l’enceinte de la cour se trouve la porterie du XIIe siècle.

1-16-01-23 Abbaye de Clermont (12).JPG

Lorsque vous revenez au début de la visite, vous regardez avec curiosité le bâtiment offert en premier à la vue, celui des religieux de chœur, datant du XVIIe siècle.

ImaIMGPb0820.JPG

Mais si vous aviez vu l’état de l’abbaye en 1954, vous remercieriez dix mille fois les deux demoiselles qui ont pris à leur charge les travaux de restauration.

CLAIRMONT29A.jpg

Il reste encore cependant quelques vitraux aux très jolis dessins, à la manière orientale.

vitrail.JPG

21/02/2016

L'accent

C’est pourtant un bien bel effet que cet accent chantant que nous avons oublié depuis que tous montent vers Paris pour étudier. Le poème devient chanson parlée à nos oreilles.

C’est l’été, les vacances avancent leur museau et ouvrent le rideau.

23/01/2016

Billard

http://www.youtube.com/watch_popup?v=YWZLw6Mo8X8&vq=hd720


http://www.youtube.com/watch_popup?v=YWZLw6Mo8X8&vq=hd720

Oui, quel doigté !

31/12/2015

IPad

Pour finir l’année, admirons les développements de la technologie. Un IPad multifonctions plus vrai que nature.

 
http://ipadvideolessons.com/blog/150224-ipad-magic/
http://ipadvideolessons.com/blog/150224-ipad-magic/

10/11/2015

Chine, toujours inattendue

https://www.youtube.com/watch?v=8oqPR5-GLuA


L'homme ne serait-il qu'une infime particule dans un monde en suspension ?

Et n'oubliez pas :

chine,spectacle,puissance,démonstration,événement

25/10/2015

Modernité

Diapositive2.JPG

Diapositive3.JPG

Diapositive4.JPG

Diapositive5.JPG

03/10/2015

Voie lactée

https://www.youtube.com/watch?v=3BHDUhX68hs


" Cette vidéo utilise plus de 400 000 photographies prises par le Spitzer Space Telescope qui a photographié l’espace en infrarouge de manière optimale entre 2003 à 2009.

En combinant les images et en les retravaillant, sans ajout d’images de synthèse, pour ajouter de la profondeur daveachuk nous donne l’impression que l’on flotte dans l’espace pendant que les étoiles de notre galaxie défilent devant nos yeux."

26/09/2015

Woman World Synchronized Skating Championship

http://www.flixxy.com/russian-women-world-synchronized-skating-championship.htm  


Admirez la majestueuse démonstration de l'équipe russe. Une symétrie parfaite et des changements de figure magnifiquement orchestrés.

ATTENTION : Rien ne sera publié d'ici mercredi. Un impératif m'oblige à partir sans liaison internet.

12/08/2015

Portes (6)

Une porte cochère exceptionnelle : elle permet d’entrer dans la maison de Dieu. Elle a une autre allure et mérite le détour et l’église porte un nom béni : Saint Nicolas des Champs. On ne la voit pas, la malheureuse. Elle est noire, salie par le temps et la pollution, mais elle invite chacun à entrer, malgré la grille fermée. Il est temps de la rouvrir pour respirer un peu d’air du paradis. Mais que de travail autant à l’extérieur qu’à l’intérieur.


 


 

 



Une porte, étroite, refaite, élégante, d’une beauté classique, surmontée de son œil de bœuf, comme une bouche aspirant les miasmes de la rue pour les refouler ensuite, propres. Enfin un air pur à respirer, rien que par le fait de contempler cette porte, nous nous allégeons et marchons sur un nuage.


 


 


 


 

Enfin une porte bien pourvue, porte de banquier cossu, ornée de grâces veillant sur un G, l’air débonnaire. La porte est pourvue de fines ciselures de fer forgé pour mettre en évidence les possibilités financières de l’occupant. C’est dans les détails que l’on voit les préoccupations des êtres. Un balcon surmonte l’ensemble. Il devait servir à se montrer dans les grandes occasions.