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05/11/2021

Rondeur 5

 

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Quel assemblage

L'hétéroclisme paye

mais où mène-t-il ?

03/11/2021

Rondeur 4

escalier,curiosité,sens

un réel diamant

qui peu à peu, s'appauvrit

et devient terne

02/11/2021

Rondeur 3

 

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Et elle enfle

Elle devient lune

Accoudée au noir

 

01/11/2021

Rondeur 2

 

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Peu à peu, il lit

Et la figure s'agrandit

Elle change de destinée

elle accueille

devient autre

 

31/10/2021

Rondeur

escalier,curiosité,sens

Un monde fermé

Chaque marche est un effort

et rien n'en ressort

 

14/03/2016

Impossible

Avait-il oublié quelque chose à l'intérieur ?

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Il est à l'intérieur et ne peut plus sortir :

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16/06/2015

Eglise de Looz (Belgique)

 Mais, est-ce une église ?

C'est une église qui selon le point de vue s'effacerait du paysage. Le projet du duo d'architectes belges, Pieterjan Gijs et Arnout Van Vaerenbergh, baptisé « Reading between the lines » -Lire entre les lignes- est plus esthétique que spirituel. Édifier une église dont les murs composés de lattes d'acier horizontales modifieraient la perception du bâtiment.

La collaboration entre les deux remonte à 2007, quand Gijs et Van Vaerenbergh décident de réaliser plusieurs projets dans l'espace public avec une portée architecturale et artistique.

Gijs Van Vaerenbergh ont dévoilé leur construction en milieu rural, reproduction exacte de l'église locale. Leur œuvre d'art est composée de 30 tonnes d'aciers et de 2000 colonnes construites sur une base en béton. À travers les lattes horizontales, le concept d'église traditionnelle laisse sa place à un objet presque transparent.

Selon la perspective de l'observateur, l'église peut être perçue comme une construction massive ou au contraire, se dissoudre, partiellement ou complètement, dans le paysage. Les curieux qui regarderont de l'intérieur de l'église vers l'extérieur seront les témoins d'un jeu de lignes jouant sur les abstractions et qui devraient modifier leur perception de l'environnement. L'église et le paysage font partie inhérente de l'œuvre.

From : http://www.huffingtonpost.fr/2012/12/03/photos-eglise-tro...

24/10/2013

La galerie Véro-Dodat

DéserEntrée.jpgte, mais splendide, aux boutiques regorgeant d’objets rares, chers ou insolites, la galerie Véro-dodat est une curiosité parisienne, précieuse et bien peignée.

L’entrée est discrète, en particulier dans la rue Jean-Jacques Rousseau. L’autre est plus grandiose de par ses statues qui surmontent le portail.

L’impression de profondeur est donnée par les carreaux de marbre noirs et blancs. On a presqu’envie de se laisser glisser sur les fesses jusqu’à l’autre bout, comme dans un toboggan. La symétrie avec la verrière en fait presqu’une œuvre d’art optique : quelle ligne de fuite parfaite !

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Le plafond de verrière possède cependant quelques peintures du siècle dernier, romantiques comme le reste.  34942688.jpg

 Vous entrez dans un salon aux vitrines strictes, taillées dans le bois et un alliage de cuivre. Elles sont magnifiques, petites fenêtres arrondies en haut, portes somptueuses, éclairages de boules suspendues au-dessus de chaque porte.

Et chaque boutique est souvent un trésor de présentation, parfois d’objets inutiles, comme abandonnées, à la manière des romantiques du XIXème siècle. On s’attend à voir sur un lit de repos une créature rêveuse, pas tout à fait endormie, ni non plus entièrement réveillée. Mais le bruit des pas d’un passant résonant sur le carrelage vous ramène à la réalité : le vide d’un désert grandiose peuplé de cadavres exquis conservés dans leur bocal de verre. 

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Des friandises, bien sûr, ou des produits de beauté 

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Et même des jambes dans tous les sens 

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