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28/04/2021

les espaces de Calibi-yau

 

 

28 idées de Espace Calabi-Yau | théorie des cordes, art fractal, theory of  everything

Fichier:Espace de Calabi-Yau.PNG — Wikipédia

Qu'est-ce ?

Un espace de plus de quatre dimensions,

produit de la géométrie algébrique.

Quand la science rejoint l'art

et crée la beauté des chiffres.

voir : https://www.google.com/search?q=espace+de+calabi+yau&client=firefox-b-d&tbm=isch&source=iu&ictx=1&fir=gSC4uFZCKN5GBM%252CnFlBVTpOppRA1M%252C%252Fm%252F019vl3&vet=1&usg=AI4_-kTJuHaoXHoIW6uVdGtgunboqI_SNQ&sa=X&ved=2ahUKEwiaoOfyiaDwAhXyEWMBHe_rA_4Q_B16BAggEAE#imgrc=gSC4uFZCKN5GBM

14/10/2020

Rien

Le vide n’est pas un néant insolite

Si le vide ne contient rien

Il est pourtant car on le nomme

Et on l’oppose à la matière

Qui, elle, est palpable

Un espace vide de matière

N’existe que grâce à la matière

Le vide seul ne peut être

Il a une structure, une dimension

Il n’est pas le néant

Il a extension et durée

 

Le néant existe-t-il ?

Se poser la question ne fait guère avancer

Puisque la pensée est pleine de quelque chose

Mais que ce quelque chose est vide

Même la pensée pèse

Bien qu’elle s’affirme parfois avec peine

 

Alors le rien existe-t-il ?

N’oublions pas qu’on ne peut comparer

Quelque chose avec rien

L’une est pleine de rien

Alors que le rien n’existe pas

Sans quelque chose à côté

On ne peut dire quelque chose

D’un rien qui n’existe pas

 

Ce quelque chose est-il né de rien 

Le rien peut-il se transformer en quelque chose ?

La création est-elle née ex-nihilo ?

Rien et toute la matière s’opposent-ils 

Ou constituent-ils un ménage indissociable ?

La matière est-elle première

Le vide n’existe que parce qu’il y du plein 

Ou le rien peut-il créer quelque chose

Qui le remplit et le transforme en autre chose                           

 

Respire et cesse de penser

Jusqu’au moment où tu rejoindras

L’au-delà de l’en-deçà

25/02/2020

vieillir

Vieillir, c’est accepter un rétrécissement de son horizon
Ne plus pouvoir voir au-delà du premier obstacle
S’inquiéter d’un avenir que l’on ne voit plus

« Dieu, où se trouve ma canne ? Je suis perdu ! »
On se lamente sur les conséquences d’une défaillance
Plutôt que d’en rechercher les bienfaits procurés
Et l’on finit par accepter cette insuffisance
Comme étant la chose la plus naturelle du monde
Sans s’ouvrir à l’infinité de l’horizon intérieur

Bien vieillir c’est transformer ce rétrécissement
En changement de vision de l’existence
Peu cultive cette exploration possible
D’un intérieur aussi vaste que l’extérieur

Alors ne vous lamenter plus
Partez en exploration
Et bon voyage !

©  Loup Francart

28/08/2018

Science

La grande faiblesse de la science, qui fait en même temps sa force, tient à ses méthodes mêmes : l’analyse scientifique d’un phénomène, qu’il soit statique ou dynamique, suppose l’isolement de ce phénomène par rapport à ce qui l’entoure. Cet isolement, nécessaire pour mettre en évidence les lois le régissant, fausse la réalité qui est faite  de relations s’établissant sur une ligne d’évolution spatiale et temporelle. L’isolement du phénomène permet l’analyse de son apparence après observation, mais ne permet pas la connaissance du réel. C’est pourquoi la physique moderne en est venue à distinguer le connu du réel et à tenir compte de cette distinction dans ces équations.

Plus tard sans doute,  les sciences arrivant à un stade de développement où l’analyse des phénomènes isolés aura été poussé à son maximum (et non jusqu’à la connaissance totale, puisque l’explication finals n’est possible que par l’explication de tous les autres phénomènes et de leurs relations), on en viendra à l’élaboration d’une science des relations qui sera la véritable science issue des autres sciences (la chimie et la physique expliquant la cytologie, celle-ci expliquant avec les deux autre la biologie, etc.).

 

10/12/2017

Le professeur de philosophie et de physique

Ce professeur était un homme remarquable, à la fois professeur de philosophie et de physique dans les classes de terminale. Il maniait les concepts scientifiques avec autant d’aisance que ceux de philosophie. Sa salle de classe était une toute petite pièce disposant d’une fenêtre  qui donnait sur un puits de lumière, sans autre paysage que le mur d’en face à 2 m de distance. Les élèves étaient serrés ; des tabourets permettaient de s’assoir derrière des tables en fer gondolées. Mais peu leur importait, ils entraient dans le salon de Mme de Sévigné, dans la chambre d’un philosophe ou dans le laboratoire d’une université américaine.

Ils l’avaient surnommé Einstein. Il s’appelait Monsieur Moréas. Il portait comme le célèbre savant des cheveux crépus en envol autour de sa tête et se laissait pousser une petite moustache. Il marchait lentement en raison de son âge, un peu courbé, mais ses réparties étaient fulgurantes et drôles. Nous l’écoutions religieusement, subjugués par son verbe.

Il disserta un jour sur la femme enchanteresse du monde : « La femme est une amphore, serrée à la taille, s’élargissant aux hanches, sans angles droits, une courbure parfaite, façonnée pour la procréation. La femme est la poésie de la terre, elle nous donne le goût de vivre par sa simple beauté naturelle. » Ses camarades jeunes filles en rosissaient, quelque peu gênées, mais fières de cet hommage du vieux professeur.

Il éclairait sur l’origine du monde, leur parlant du Big Bang, étrangeté à l'époque, tout en gardant le mystère de la création présent dans son discours. Il les initia à la pensée logique, à l’imagination créatrice. Homme complet, il avait un sourire charmant dont il usait lorsqu’il disait quelque chose de personnel et le plus souvent en plaisantant. Sa pensée était profonde, mais il parlait comme s’il disait des choses banales et ses élèves ne soupçonnaient pas les trésors qu’il leur divulguait. Ils l’ont tous remercié à la fin de l’année.

Il n’a qu’un regret, c’est de ne pas l’avoir revu. La jeunesse oublie, préoccupée par son entrée dans la vie adulte.

30/09/2017

Un rêve

Un rêve est-il vrai ?
Ou plutôt, un rêve est-il réel ?
Comment répondre à cette question ?

Le rêve t’embarque et tu vas
Attentif aux personnes et aux biens
Mais sans pouvoir sur eux
Alors qu’eux abusent de toi
Le rêve t’impose son déroulement
Et choisit lui-même son rythme
Tu te souviens même avoir déjà vécu
De semblables circonstances
Qui, parfois, t’ont amené à d’autres réactions

Le rêve t’entraine en d’autres territoires
Où la volonté importe peu
Seul compte la ténacité et l’honnêteté
Le courage reflue en toi
Tu te sens invincible, mais précaire
L’ombre ne suffit plus à te cacher
L’opprobre t’accompagne malicieusement  
Jusqu’au point de rupture
Là, tu sors ton mouchoir et le tache
De ton sang rouge et brillant

Mais ton souvenir va au-delà
Dans l’azur bleuté de la liberté
Vers ce que certains pensent folie
Et que tu baptises vérité
Celle-ci serait-elle le vide
L’absence de pensées, voire d’existence ?
Oui, je comprends, quelle folie !

La liberté ? Ne plus avoir à choisir !    
Tout s’impose par soi-même
Le choix est contrainte et effort
Il faut peser le pour et le contre
Hésiter entre deux maux ou deux biens
Comment ne plus pouvoir choisir
Et, malgré tout, y être astreint
Quelle prison imaginaire…

Le rêve le plus réel pourrait-il n’être
Qu’un rêve vide d’images et de sons ?
Dans ce cas rêve et réalité se rejoignent

Finalement qu’est-ce qu’un trou noir :
Un passage entre le palpable et l’impalpable
Entre le zéro et l’infini
Entre le tout et le rien
Entre la réalité et le rêve ?
Qu’en sais-tu puisque personne n’en revient !

 

26/01/2017

Notre Soleil vu par la Nasa

https://youtu.be/GSVv40M2aks


La vidéo  a été tournée en partie quand Vénus est passée entre le Soleil et la Terre.
Quand on voit des grands bras de matière qui s'échappent du soleil, il s'agit de photos prises à une longueur d'onde unique, donc du suivi de matière qui rayonne à cette couleur depuis le "disque" jusque dans lespace avec retour un peu plus loin, des sortes de ponts à 20 millions de degrés.
Quand on voit le disque seul avec des taches, il s'agit de photos prises dans un domaine de longueur d'onde très large, donc de la matière qui rayonne dans toutes ces couleurs. Elle constitue le "disque", à la température la plus froide, 6 000 degrés. On ne voit pas les bras cités plus haut, car ils sont moins lumineux que le fond d'image.
Les autres images du Soleil sont prises à d'autres longueurs d'onde, rayons X notamment, d'où cette allure crevassée.

 

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03/08/2016

Jean-Emile Charon

Un homme qui a été à l’encontre de tous les préjugés dans le monde des physiciens en parlant de conscience ou d’esprit logé au cœur même de la matière. Il explora la frontière entre le vivant et le non-vivant et conclut qu’elle n’existait pas. L’esprit et la matière représentent les deux faces d’une même réalité, laquelle commence au Big Bang et naît dans les plus petites particules, les électrons. L’électron, partie matérielle de la particule, serait donc pensant et sa partie pensante, il l’appelle éon.

"On ne peut plus être aujourd'hui un "physiciste" (mot dérivé du mot américain "physicist" : physicien) pur, qui ne s'intéresse qu'aux propriétés de la matière, qui renonce à parler de la conscience, de l'esprit, en espérant, contre tout espoir, qu'un jour l'esprit sera réduit aux seules lois physiques", explique Raymond Ruyer dans la revue Question de janvier-février 1978.

Pour Jean Charon, l’électron est un univers en soi. Comme l’univers qui lui-même comme l’homme pense, l’électron possède une capacité de penser son environnement, il reçoit des informations du monde observable (la connaissance), il échange ces informations avec les autres électrons (l’amour, c’est le terme choisi par Jean Charon), il interprète des informations (réflexion) et enfin il agit (acte). Cet ensemble d’activités n’est possible que grâce à la lumière contenue enroulée dans l’électron qui inverse le mouvement naturel du monde matériel à l’entropie et crée la néguentropie (accroissement permanent du niveau de psychisme). Les éons conservent la totalité des informations qu’ils emmagasinent et créent sans cesse des configurations plus ordonnées. C’est donc la combinaison, chez l’homme, des éons intemporels et de nos neurones temporaires qui permettent la conscience.

Jean-E. Charon part d’une analyse des « trous noirs », sujet n° 1 de l’astrophysique actuelle :

« Le trou noir est ce qui va rester d’une étoile qui vieillit, qui a brûlé son oxygène, puis son hélium, qui commence par éclater, puis qui se contracte de plus en plus sous l’effet des forces gravitationnelles au point que la densité de sa matière devient de l’ordre de la matière dans un neutron.

Brusquement la contraction devient si forte, qu’il se produit un phénomène curieux: l’étoile courbe l’espace de l’univers.

En quelque sorte l’étoile « crève » l’espace-temps de la Matière pour « naître » dans un nouvel espace-temps qui lui est propre, et dont les caractéristiques très différentes de celles de notre espace-temps permettent d’être appelées les caractéristiques d’un espace-temps de l’Esprit ».

Pour une meilleure compréhension de l’auditoire, Jean Charon compare l’univers à un ballon rouge. La peau du ballon se courbe et forme une petite protubérance.

« Un nouvel espace a été formé. La protubérance a un seul point de contact avec la peau du ballon. C’est un espace séparé du reste et pourtant encore relié au ballon. »

… « Le trou noir est comme extirpé de notre univers.

Il forme un espace à lui dans lequel le temps est retourné. Au lieu en effet qu’il s’écoule comme dans notre univers, ce qui a pour conséquence l’entropie croissante, il est inverse, et il y a néguentropie.

1) Les choses vont aller toujours en se mémorisant davantage et à jamais.

2) Parvenue au trou noir, l’information ne se fera pas n’importe comment mais en se structurant dans l’espace, s’ordonnant et devenant de plus en plus consciente ».

Pour l’auteur, l’électron serait un micro-trou noir, emmagasinant les informations et les pensant pour agir depuis que le Big-bang a eu lieu.

Mais pour la plupart des physiciens, jean Charon est un vieux fou dont les idées sont à hurler de rire.

Ne peut-on laisser errer son imagination aux frontières de l’inconnu ?