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19/05/2023

Rien

Rien, il n’y a rien
Mais comment l’idée de quelque chose peut-elle germer de rien ?
Même pas une image, née de l’imagination
Une image est une construction, née de l’homme
Née d’une idée sans forme confrontée à autre chose
Quoi ?
Un ailleurs imaginaire
Un vide plein de rien
Un rien plein de vide
Imaginez ce vide sans forme
Qui remplir quoi ?
Un autre vide
Deux vides ne font pas un plein
Deux pleins contiennent-ils un vide ?
Est-ce possible ?

18/05/2023

la demeure

Il saute à cloche-pied
Il a perdu le contrôle
Et divague dans les rues
Dans le noir de la nuit

Pas un bruit, le brouillard
Les ombres épaisses
La chair de poule
La solitude aussi, prenante

Es-tu seul sur terre ?
Rien ne te retient plus
Tu vas où tu veux
Mais tu ne sais ce que tu veux

Merci au monde pour l’ignorance
Merci pour ta constance
Merci pour ces dons imprévus
Merci pour l’existence

Rassuré il va,
Il tend les bras
Et il s’en va
Jusqu’à toi

Elle est la seule qui demeure entière
Bien à elle
Droite dans ses bottes
Jusqu’au dernier jour

15/05/2023

L'ange ?

- Es-tu l'ange
Es-tu l'absent
Es-tu celui qui n'est pas
Es-tu l'informel
 Je ne suis rien de tout cela
Je ne suis qu'une trace sur la terre
Que laisse un bâton dans la boue

Retour

Retour… J’y étais… Et toi ?
Dans la plaine dénudée
Elle marchait la tête inclinée
Ne regardant plus ses pieds
Ne voyant que de l’eau 
Qui coulait entre ses jambes
Avec une sensation de froid
Où donc t’engages-tu ?
Tu possèdes l’amour, la vie
Que te faut-il d’autre ?
La richesse ne te suffit pas ?
J’ai erré des jours entiers
Dans la boue, la terre aride
Je n’ai pas rencontré mon double    
Ni même l’ombre de moi-même
Oui, mais lui qui était-il ?
Cet homme droit et réservé
Qui passait parmi les autres
Inconnu d’eux-mêmes
Elle n’avait rien qui puissent lui rappeler
Les jours heureux de la rue
Où les gamins courraient
Innocents d’inconnaissance
Alors, adieu gamins
Que le ciel ne vous tombe pas sur la tête !

14/05/2023

J'entends la plainte des peuliers

J’entends la plainte des peupliers
J’entends l’aigu violon du vent
Qui, soufflant, rageant, pestant
Fait ses dents sur ces géants templiers

O mes grands peupliers effeuillés
Vos tristes cadavres puissants
Dressent leurs bras au temps
Mais j’aime votre noire nudité

Vous seul savez donner encore
Grâce à vos belles feuilles d’or
Des charmes aux rivières d’argent

Vous êtes les gardiens sévères
De eaux vierges de la rivière
Puissiez-vous vivre encore longtemps

 

 

(écrit le 30 août 1962)

13/05/2023

Elyne

Elyne ne connait pas ce lieu. Non seulement elle n’y est jamais venue, mais elle n’a aucune image qu’elle aurait pu reconnaître. Tout lui semble faux. Non seulement ce qui est considéré comme fixe, c’est-à-dire les objets et le paysage, mais également les êtres vivants, animaux et humains. Une femme passe près d’elle, la regarde sans avoir l’air de la voir, puis continue son chemin comme si de rien n’était. Même le chant des oiseaux lui paraît curieux, une sorte d’étranglement du son comme si l’air n’arrivait à transmettre de manière fluide quoi que ce soit. D’ailleurs elle n’entend pas le son des pas de la femme. Tout se déroule comme sur un nuage épais qui étouffe les sons et voile la vision. Pourtant, ce sont bien, en même temps, le paysage quotidien, les objets qu’elle utilise journellement, les habitants de son village qu’elle connaît de vue et auxquels il lui est arrivé de parler. Elle se demande si elle ne louche pas. Cela arrive parfois le matin, lorsque vous vous réveillez encore dans le souvenir de votre rêve et que vos deux yeux contemplent deux objets brisés par un non-ajustement de la vue sur un point unique. Elle se demande comment elle s’est réveillée. Puis n’y pense plus. Ah, là aussi, quelque chose ne semble pas aller. Sa mémoire lui joue des tours, ou plutôt sa perception du temps. Quelle heure peut-il être ? Quand me suis-je levée ?

Elastre fait quelques pas. Elle regarde le ciel, seul lieu inconnu parce que si loin qu’il est au-delà de toute perception. Elle baisse les yeux et regarde son paysage quotidien : une bande de terre aride, parsemée de cailloux et d’herbes folles, puis, plus loin,  un creux dans l’écorce terrestre qui s’ouvre et s’enfonce dans le sol, tandis que plus loin encore se dressent des monts rocailleux. Elle marche, respirant l’air frais, foulant du pied une terre desséchée, secouant la poussière accumulée sur ses vêtements. Elle connait bien ce paysage qui l’accable à chaque réveil. Qui la sortira de ce trou ? Qui lui fera franchir ces montagnes sordides ? Son cœur se soulève d’espoir et, bien vite, retombe dans une langueur irrésistible. Qui l’en sortira ?

Et les deux ne font qu’un : Elyne et Elastre sont la même chair. Mais ont-elles la même âme ?

12/05/2023

Haïku

Il est deux heures

Un cri lâché dans la nuit

L'ami chat rêve

11/05/2023

Retour

Retour… J’y étais… Et toi ?
Dans la plaine dénudée
Elle marchait la tête inclinée
Ne regardant plus ses pieds
Ne voyant que de l’eau 
Qui coulait entre ses jambes
Avec une sensation de froid
Où donc t’engages-tu ?
Tu possèdes l’amour, la vie
Que te faut-il d’autre ?
La richesse ne te suffit pas ?
J’ai erré des jours entiers
Dans la boue, la terre aride
Je n’ai pas rencontré mon double    
Ni même l’ombre de moi-même
Oui, mais lui qui était-il ?
Cet homme droit et réservé
Qui passait parmi les autres
Inconnu d’eux-mêmes
Elle n’avait rien qui puissent lui rappeler
Les jours heureux de la rue
Où les gamins courraient
Innocents d’inconnaissance
Alors, adieu gamins
Que le ciel ne vous tombe pas sur la tête !

10/05/2023

Vieillesse

Il est bien contraint d’accepter l’infortune
C’est-à-dire la chute des cheveux et la face bouffie
La détresse de ne voir se lever le bâton
Devant l’adorable et tendre jeunesse
Plus rien ne sera comme avant, l’âge le prend 
Et même si la résistance ne diminue pas
Il devient l’ombre de lui-même
Certes, il a toujours vingt ans dans sa tête
Il s’émeut encore à la vue de seins fermes
Mais inversement comment les femmes
Pourraient-elles s’intéresser au demi-cadavre
Proférant ses derniers tressaillements
Il s’interdit tout miroir, le déplumé
Et le proscrit à son entourage
Elle porte une queue de cheval
Et ne peut admirer sa coiffure
Quelle importance pour lui ?
Il conserve bien quelques poils
Au bas du ventre, blanchis par les ans
Mais cette toison n’est plus contemplée
Certes, il s’est empli de sagesse
Mais à quoi donc lui sert cet entendement 
Puisqu’il ne peut en faire profiter autrui ?
Que lui reste-t-il ?
Il plonge en lui-même sans regarder en arrière
Un océan calme et plat
Dans lequel il s’enfonce progressivement
Cela ne devrait plus tarder
Il s’évanouira dans les replis de sa conscience
Refermé sur lui-même… Perdu… Sans vie…

 

09/05/2023

Souvenirs

Délivré de lui-même, le cœur sur la main
Il se présenta, seul devant la cour
Il se réjouissait de revoir la petite
Elle avait marqué ces derniers jours
Malgré son côté désaxé, ses pas menus
Son rire aigu et ses remarques déplacées
Elle n’est pas là, lui répondit son frère
Dommage, c’était une bonne occasion 
Il poursuivit sa route ver le parc
Entra, s’assit sur un banc pâlot
Et réfléchit sous le soleil :
Rien ne vient s’effacer de ta vue
Il la voit toujours riante
Vive comme un ver de terre
Joyeuse comme un pinson réglé
Où vas-tu ?
Au royaume des délaissés
De ceux qui ne tiennent pas à la vie
Et qui regardent, effarés leur frayeur
Courir derrière eux en criant
Ainsi se perdirent les héros
D’un matin morose
Au bord du trottoir
Attendant le bus scolaire
Qui l’emmenait au lycée 


04/05/2023

je t'ai donné

Je t’ai donné mon trésor
Préparé la nuit, pendant le sommeil
De ceux qui n’ont pas d’inquiétude
Je l’ai laissé murir dans ma tête
Jusqu’au jour où il n’était plus rien pour moi
Je l’ai relu, j’ai corrigé quelques pages
Puis j’ai jeté au vent du large
Les feuilles mortes qui volaient
Plus rien ne reste de ces souvenirs
Tes poches sont vides
Dit adieu à ce moi qui erre encore en toi
Et va dans la nuit, le front dégagé
Marche vers l’eau et prend un bain
Oublie-toi devant l’immensité 
Et plonge dans l’oubli
Sans oublier ton trésor

26/04/2023

L'absence

Entre les nuages et les écueils
J’ai promené mon regard
Et n’ai trouvé à voir que l’ignorance
Le silence et l’absence
Et pourtant je poursuis jusqu’à quand ?

23/04/2023

fétu

Ce n’est qu’un fétu de paille
Qui vole au-dessus de nous
Et virevolte comme un hélicoptère
Il t’emplit la tête et tremble l’atmosphère
Adieu moustique, évade-toi
Laisse reposer ton cœur
 Des pesanteurs de l’univers
Où tu cherches l’inconnu

 

22/04/2023

L'ENVOL

ERIC DOS SANTOS ET LOUP FRANCART

VOUS PRIENT

DE BIEN VOULOIR ASSISTER A LA PIÈCE

 

L’ENVOL

de Loup Francart

 

le 29 avril 2023, à 15h 

dans la galerie The Artistic Red Dot

à Parcé sur Sarthe (La Saunerie)

Avec :

  • Charles de Danne,
  • Serge Lescaroux,
  • Dimitri Francart,
  • Patricio Cadena Perez (guitariste)
  • Gilles Gilbert Raab,
  • Emma Véron,
  • loup Francart.

 

Présentation :

Les deux questions que tous se posent un jour ou l’autre : Dieu existe-t-il et quelles sont nos relations ? Chasse gardée des religions, la réponse n’est cependant pas forcément taboue. Elle concerne la vie de chaque jour, de tout instant, dans les pensées qui vous assaillent, dans les émotions qui vous saisissent. La quête de Dieu est notre enjeu final, en dehors de toute religion, philosophie, morale, science.

Le choix de la poésie pour décrire ces interrogations permet de ne pas s’engluer dans la science, la philosophie, la théologie, l’ignorance ou l’inconnaissance. La poésie permet l’humour, la divagation, la réflexion, et offre des alternatives aux questions les plus pertinentes de l’humanité. Elle agrandit la vision d’un univers purement physique, sans toutefois dévoiler le mystère dans son entier.

Le public est entraîné dans une aventure intérieure  passant par l’intuition métaphysique, l’éblouissement, le monde invisible, l’humanité, la vie collective, la vie personnelle et, bien sûr, la vie spirituelle.

La vie nous attend, mais comment accéder au plus profond de soi-même ? Dieu se cache derrière son ombre, derrière ces bouffées d’air divin qui viennent enjoliver l’existence à certains moments.

 RSVP à : eric@the-artistic-red-dot.art. Cette réponse est obligatoire pour assister à la représentation.

 

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21/04/2023

L'unité

L'unité crée l'harmonie

mais la réunion des contraires va plus loin

Le multiple est un

20/04/2023

Au coeur de la glace

Au cœur de la glace palpite la liberté

Volcan des humeurs, privilège de la fuite

Elle s’engorge de contradictions

Mais toujours éclaire celui qui la porte

Dans le noir de l’être survit encore

Le fer rouge du bonheur

19/04/2023

 Miasmes

Rien ? il ne reste rien de nos rêveries d’antan
Quand tu courais aux murs de notre inconscience
Veillant sans cesse à nos intérêts et possessions
À nos souvenirs enfermés dans nos mémoires
Et au fond desquels se cache la puissance de l’amour
Le grain d’espoir revenu du monde endormi
Repu d’invisibles sursauts de miasmes de regrets
De n’avoir pu profiter de ces moments heureux

Tu es l’invincible femme de fer et d’or
Qui soutient mon souvenir et ma foi
Les fils suspendus de nos aventures
Et même de notre existence échevelée
Le nuage d’inconsistance de nos amours

Merci de ces jours cocoonés de rêveries
De ces échappées dans la steppe de nos mémoires
De ces villes où nous avons vécu
De ces voisins amicaux et joyeux 
Des marchés où nous avons posé nos pas
Des trésors enfouis dans nos souvenirs
Et qui seront perdu à jamais

Tu fus longuement mon bâton
Tu me caresses la main et me dis ton amour
Comme une jeune fille regarde l’homme aimé
Et ton cœur s'emplit d’air et de douceur
Tu pleures sur notre amour et la tendresse de nos images
Enfouies au plus profond de nous-mêmes

10/04/2023

Pardonnez-moi

Pardonnez-moi, je passe beaucoup de temps à préparer une pièce que nous allons jouer le 29 avril et à préparer les mailings. Je n'ai pas le loisir d'y adjoindre les réflexions et propos poétiques quotidiens. Veuillez m'en excuser. La pièce s'appelle L'envol, je vous enverrai sa présentation incessamment.

 

06/04/2023

Rêve

Rêves-tu ou vis-tu ?
Tu ères sans cesse en ta prison
Tu te promènes, abandonné
Sans savoir où t’accrocher

Captes ton espérance
Rends-la présente
Fais-la vivre en toi
Ouvre les yeux sur toi-même

05/04/2023

Adjuvent

Seul dans l’univers
L’homme est-il l’unique ?
Un poil-à-gratter

Dieu seul se gratte
Il fait tomber ses bourgeons
Et sourit d’aise

04/04/2023

Mystère

 

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Mystère

 

23-04-04 Abrégé 1er trim 2011.jpg

03/04/2023

Rêve

Tu te penches sur toi-même
Tu regardes dans le fond de ton œil
Tu entends le bourdonnement de tes rêves
Tu plonges ton regard vers l’inconnu
Tu ne sais où tu es
Mais tu sais où tu vas, les yeux fermés
Sans savoir à quel moment tu ne seras plus
Une seconde de trop, un cri dans la nuit
Et rien derrière...


Juste l’aimé pleure dans tes rêves antérieurs
Et tu la regrettes déjà

02/04/2023

Vie extérieure et vie intérieure

La vie est une succession d’instants et chacun d’eux suggère une vision du monde et des autres. C’est cette rencontre entre les univers extérieurs et intérieurs qui me fascine. On ne sait plus où se trouve la limite entre les deux, équilibre fragile entre la pensée et l’action, qui se mêlent parfois. Quel cocktail détonnant que ce mélange entre le conceptuel, le virtuel et le réel !
Ma biographie se trouve sur internet, mais elle ne donne que la vision de l’univers extérieur. A chacun d’entre vous de découvrir l’univers intérieur peuplé de chimères, de rêves, d’art et de beaucoup de vide pour laisser la place à l’imagination. Tout ceci reste encore à explorer jusqu’au bout du chemin. Rien n’est fini, il y a toujours à découvrir.

01/04/2023

Attente

Attente, attente d’une fin la meilleure possible
Certains n’en savent pas la valeur
D’autres sont désenchantés d’une chute si lente
Ils rient encore du bon tour joué à leurs proches
Beaucoup ignorent encore cette fin proche
Ils s’amusent sans connaître l’illusion
Ou encore n’ont-ils par le temps de s’en apercevoir

Escamotables sont-ils ces derniers instants
Où chacun est face à lui-même
Regardant la feuille blanche de leur vie
Peinant à distinguer de vrais comportements 
D’humains fiers de leur passé
Fermant leurs yeux sur leur chef d’œuvre  

29/03/2023

Lassitude

Lassitude, existe-tu ?
Las de taper toujours la même lettre
Sur un clavier muet. Laquelle ?
Tu cherches dans ta tête
Où se trouve-t-elle ?
Hier, elle était là
Aujourd’hui elle a disparu
Raccrocher ton souvenir
A ce qui te donne espoir
L’ai-je vécu pleinement ?
Mais tu es là, près de moi
Tu me tiens chaud
Et je suis rasséréné 
La nuit, que d’aventure
Réelle et rêvée !

28/03/2023

En avant

Il se tortille, s’enroule et te regarde
Il ne voit que toi, une ombre parmi les autres
Noir et gris, il se glisse derrière toi
Te prend par la main et t’entraîne
Dans son rêve d’esthète
Et passe les ombres immortelles
Dans les rues désertes et silencieuses
Dans la main tu ries, tu t’esbroufes
Tu cherches un refuge doré et reposant
Mais ton corps veille et refuse de bouger
Adieu le vers contorsionné sur ses idées
Folle d’un jour sans grâce
Ne te laisse pas aller
Avance toujours dans la vie
Et contemple ton passage 
Dans ce monde éperdu
Trace ton chemin et va de l’avant
Dans jamais regretter ce que tu a fait

27/03/2023

Construction insolite

26/03/2023

Humanité

Toi, toujours en moi, présente en toute chose
Et la vie se fait grâce. Bonheur d’un jour
Joie d’être vivant, présent avec toi
Dans ce monde ouvert et plein de surprise
Et nous voilà partis, ensemble, main dans la main
Vers cet horizon retaillé pour nous
Et nous avançons vers l’inconnu
Ne sachant où nous allons et ce que nous faisons
Tiens ma main et vois large
nous respirons l’air diaphane
du retour vers l’humanité

23/03/2023

Parution : L’envol

L'envol couv.1.jpgLes yeux des hommes se révulsent
Les oiseaux eux-mêmes cessent de planer
Pour s’emprisonner dans l’espace
Une goutte d’éternité ravive l’œil
Et lui prête un regard vierge

    

Les deux questions que tous se posent un jour ou l’autre : Dieu existe-t-il et quelles sont nos relations ? Chasse gardée des religions, la réponse n’est cependant pas forcément taboue. Elle concerne la vie de chaque jour, de tout instant, dans les pensées qui vous assaillent, dans les émotions qui vous saisissent. Ce sont des intuitions subites, des éblouissements bouleversants, l’irruption d’un monde invisible qui donnent un regard nouveau sur l’univers, sur l’humanité, sur la vie collective et personnelle, enfin, bien sûr, sur la vie spirituelle. La quête de Dieu est notre enjeu final, en dehors de toute religion, philosophie, morale, science.

Le choix de la poésie pour décrire ces interrogations permet de ne pas s’engluer dans la science, la philosophie, la théologie, l’ignorance ou l’inconnaissance. La poésie permet l’humour, la divagation, la réflexion, et offre des alternatives aux questions les plus pertinentes de l’humanité. Elle élargit la vision d’un univers purement physique, sans toutefois dévoiler le mystère dans son entier.

L’auteur entraîne le lecteur dans cette recherche selon les chapitres suivants :

  1. 1. L’intuition métaphysique ;
  2. L’éblouissement ;
  3. Le monde invisible ;
  4. L’univers ;
  5. L’humanité ;
  6. La vie collective ;
  7. La vie personnelle ;
  8. La vie spirituelle.

La vie nous attend, mais comment accéder au plus profond de soi-même ? Dieu se cache derrière son ombre, derrière ces bouffées d’air divin qui viennent enjoliver l’existence à chaque instant.

Bien sûr, cette quête est personnelle. A chacun de trouver sa voie.         

2022  /  206 pages  /  Prix de lancement : 15 €      

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