30/08/2023
Révolution
L’ombre de l’inquiétude le ravage
Il est trois heures, rien ne bouge
Pas un bruit, pas un mouvement
Rien n’est prêt à accueillir la révolution
Il allait appuyer sur le bouton
« Réveille-les donc ces bourgeois »
Lorsqu’un homme apparu
Froid et silencieux, inconnu
Il fit le noir en lui
Et sombra dans le sommeil
Il dormit quinze heures…
03:29 Publié dans 42. Créations poèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
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