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05/07/2021

L'intelligence émotionnelle (2)

Une notion d’influence, c’est-à-dire d’utilisation des connaissances d’empathie pour modifier les perceptions et la vision des autres et introduire un changement de paradigme personnel ou social

    • La capacité à identifier et utiliser les émotions de personnes individuelles, de groupes, de foules, de populations caractériser par des facteurs psychologiques communs ;
    • La capacité à identifier et utiliser les émotions pour provoquer des changements de vision du monde chez un groupe de personnes ou une population (créer une dissonance cognitive chez ses personnes)
    • La capacité à protéger les émotions d’un groupe face aux actions ou réactions d’autres groupes.

 Une notion de gouvernance de l’opinion publique qui concerne un ensemble de décisions, de règles et de pratiques visant à assurer le fonctionnement optimal de l’Etat ou d'une organisation, ainsi que les organes structurels chargés de formuler ces décisions, règles et pratiques, de les mettre en œuvre et d'en assurer le contrôle. Elle englobe :

    • La communication sociale qui inclue la communication gouvernementale, la communication d’entreprises, la communication interpersonnelle. La communication sociale se définit comme l'ensemble des actes de communication qui visent à modifier des représentations, des comportements ou à renforcer des solidarités ;
    • La réglementation de la liberté d’expression et d’opinion (surveillance, législation et sanctions) ;
    • La lutte contre la propagande et les fausses nouvelles. (législation et sanctions).

04/07/2021

L'intelligence émotionnelle (1)

L'intelligence émotionnelle s'inclut dans quatre domaines assez différents les uns des autres.

Une notion  de connaissance de soi ou même de développement personnel de soi qui comprend :

      • La capacité à identifier ses émotions : Les émotions fonctionnent comme un système d'alarme et livrent des indicateurs sur notre connaissance d’une situation. Elles affectent nos perceptions, jugements et induisent des comportements. Elles ont pour origine un déclencheur interne ou externe.
      • La capacité à connaître les émotions de base, auxquelles on devrait ajouter l’atonie ou la torpeur (réflexe de non-réaction face à un événement induisant une émotion forte).
      • la capacité à les intégrer dans une compréhension plus large des comportements (cerveau droit et gauche).

    • La capacité à maîtriser ses émotions : connaître et maîtriser l’enchaînement des émotions dans le cycle peur-colère-dépression-espoir.
    •  

    Une notion d’empathie (Capacité de s'identifier à autrui dans ce qu'il ressent)

    • La capacité à comprendre les émotions des autres : l'empathie est la capacité à s'identifier à autrui, à ressentir ce qu'il ressent, à se mettre à la place de l'autre.
    • La capacité à les intégrer dans une compréhension plus large des comportements (cerveau droit et gauche) ;

02/07/2021

L'intelligence émotionnelle

Beaucoup emploient le terme "Intelligence émotionnelle" qui désigne « l’habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres » (Mayer & Salovey, 1997).

En fait, ce terme désigne deux aspects d'un même problème :

  • L’intelligence est ici utilisée au sens classique du terme : Faculté de connaître, de comprendre ; ensemble des fonctions mentales ayant pour objet la connaissance rationnelle (opposé à sensation et à intuition).
  • Mais cette dénomination cache également l’intelligence au sens anglais du terme, c’est-à-dire la capacité à acquérir du renseignement et à l’utiliser pour faciliter la compréhension et l'action auprès des différents groupes primaires constituant la société.

Mais si l’on veut en faire un concept utile pour les responsables quels qu’ils soient, peut être faudrait-il parler de « résonnance émotionnelle », car la particularité de ce concept est qu’il n’est pas raisonné à la manière des concepts intellectuels. L’agression de toute émotion tient au fait qu’elle résonne en nous de manière excessive, empêchant toute analyse logique des faits. Elle entraîne des changements de paradigmes et de vision personnelle de l’environnement de chacun. C’est ce changement qui procure un décalage entre les responsables et les réactions des groupes qui y sont soumis.

Mais au-delà du terme que contient réellement ce concept ? C'est ce que nous allons nous efforcer de comprendre au cours des prochains jours.