14/08/2017
Paradoxe
Je suis le vide et le néant.
Il me pénètre de sa couleur,
Je respire son odeur.
Il s’encastre entre chaque globe
Et les écarte de sa puissance incontrôlable.
Gonflés du vide de l’absence,
J'erre à l’abandon et connais le repos.
07:34 Publié dans 45. Maximes | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : maxime, sentence, méditation, paradoxe | Imprimer
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