21/11/2024
Fini
Encore toi, tu restes à mes côtés
Toujours penché sur mes épaules
Auscultant mes gestes et paroles
Et je contemple, ahuri,
Ta face austère, occultant les réactions
Du pauvre bougre que je deviens
Perdu dans la société rapace
Des malheurs du temps présent
Foutez-moi la paix !
Plus rien ne peut sortir de moi-même
Hormis une blague molle et vaine…
07:50 Publié dans 42. Créations poèmes | Lien permanent | Commentaires (0) | Imprimer
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