Les hommes, comme d’éternels esclaves
19/01/2012
Les hommes, comme d’éternels esclaves,
Entraînent chaque jour la roue du passé,
N’agissant que sur ce point de tangence
Qui imprègne dans le sol l’instant de sa présence.
Derrière ne restent que les traces du regret du passé
Et au devant l’espoir du futur dans un jardin sauvage.
Les commentaires sont fermés.