Et çà bavarde, et çà bavarde… Jusqu’où aller ? Quelle effroyable gabegie... Ça trotte sans cesse dans ce maelstrom  Qu’est la vie assistée d’un cerveau  Çà bouge, çà remue, çà s’éparpille Rien n’est semblable, mais tout est différent À mille lieues de tes horizons habituels Le brouillard se disperse, le noir s’éclaircit Au fond, le blanc va à l’âme  Même accompagnée de beauté Étoiles folles sur le fond Qui blanchit sur la vie Et te voici boiteux, honteux De ce blanc qui s’estompe  Et cache le réel devenu vérité N’arrête pas, va… et viens…

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