
L’immensité de la solitude humaine Ne remplace pas les moments de gaité Ou de déséquilibre des situations Rien ne fera revenir l’entente Entre les générations et les sexes Chacun vit sa vie dans son cercle Affairé de bonheur et de sommeil Ou prisonnier d’un bain de société Qui contraint à faire semblant D’être marié à tous sans distinction Tout en étant loin des élans du cœur Plonge ton nez dans le journal Pour y lire ta vie et t’en délecter Ton croit être du monde Mais déjà tu erres dans la profondeur Du désordre humain