Il est seul La solitude lui pèse Il erre sans soutien Dans ce monde morne La fente chaude (Et accueillante) S’ouvre devant lui Y entrer ou non ? Il appréhende Mais le rêve La douceur Et la fureur ! Il marche, seul Regardant ses compatriotes Pèsent-ils la valeur Ou la puissance ? Rien de tout cela Ses pieds avancent Il sent leur froid Et va vers elle Il approche  Hume son parfum Cela lui suffit… L’ombre d’un rêve Il s’emplit les poumons Pleura sur le souvenir Puis prit sa décision Plus rien ne sera comme avant...

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