17/02/2017
Le ney, flûte sacrée des soufis turcs
https://www.youtube.com/watch?v=qsqcmRNODwQ Des sons venus de l’absence du moi, dans ce vide indéfini que l’on peut également qualifier d’éternité. L’absence devient le tout, supérieur à la somme des parties. Résonnant d’abord à l’extérieur de soi, les vibrations entrent dans l’être intérieur, le purifient et le font accéder au soi, cette partie de nous-même, supérieure au moi qui entre en contact avec le divin. " l’homme est un miroir qui, une fois poli, réfléchit Dieu ".