
L’horizontale d’abord¸ Fuyant dans la blancheur du ciel, Ancrée autour d’un pilier, Enchevêtrée et repliée sur lui-même : L’univers chiffonné du cosmologue. La verticale ensuite, Lampadaire banal noyé dans l’horizontal, Dressé vers un avenir incertain Qui n’éclaire qu’un vide d’espoir. Seul, il se dresse contre le quotidien ! Puis l’unique variante : l’arbre vivant Dans la minéralogie environnante, Guirlande de feuilles en respiration, Fermant ses bras sur la vie. Il va où il veut et vit sans...