Souvent, il étire ses personnalités Souvenir éclatant, regard sans lumière Il n’imagine pas d’autres ambigüités Que celles évoquant la fin dernière Mais de quoi s’agit-il ? Demande-t-il aux siens Dans son nuage blanc, il marche sur les flots Mille lieux au-dessus de brefs soucis humains Il va-et-vient sans fin, flottant sur son îlot Rien ne l’offense et tout le concerne Prisonnier d’un songe, il marche vers la mort L’amour le délaisse, quelle route terne Approchant de la fin, il n’est plus qu’un corps-mort Ombre de lui-même, il n’ose avancer Il résiste...

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